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Barrières économiques


Qui est concerné? Tous

Barrières relevant de la capacité économique des différents systèmes présentés ici (individu/parent, organisations, gouvernement).

Deux systèmes sont mis de l’avant dans les exemples suivants :

  • Barrières relevant de la capacité économique de l’individu, ou du ménage dans lequel il vit, à maintenir une qualité de vie adéquate sur les plans de la sécurité, de la santé, du travail, de la culture et des loisirs.
  • Barrières relevant de la capacité économique des organisations à offrir des services de qualité et gratuits aux familles.

Exemples

Impacts possibles

La capacité économique de l’individu.

Ex. : un faible revenu familial.

 

 

 

 

 

 

Ex. : des difficultés à trouver un logement adéquat et abordable pour les familles nombreuses.

 

  • Les impacts liés à la condition économique peuvent toucher plusieurs sphères de la vie familiale :
    • Qualité du logement
    • Quantité et qualité de l’alimentation
    • Transport (coûts des transports publics, accès à une voiture, coût de l’essence, etc.)
    • Accès aux activités sportives et culturelles
    • Couverture de l’assurance et coût des médicaments

 

  • Éloignement des grands centres donc augmentation des déplacements.
  • Choix d’un logement trop petit pour la famille, ce qui peut amener trop de promiscuité pour une famille nombreuse.
  • Choix d’un logement à coût relativement abordable, mais qui est négligé par le propriétaire donc risques d’insalubrité, ce qui pourrait entraîner des problèmes de santé dans la famille.

 Alain Poirier, médecin-conseil à l’INSPQ, partage des données québécoises sur le logement.

Nibisha Sioui parle des difficultés liées au logement chez les Autochtones.

Exemples

Impacts possibles

La capacité économique des organisations.

Ex. : financement à la mission de base insuffisant pour les organisations communautaires.

 

 

 

 

 

 

 

Ex : modes de financement peu adaptés au travail auprès des familles.

 

  • Des compressions de personnel.
  • Des salaires peu élevés pour des intervenants.
  • Des difficultés à maintenir le personnel en place en raison de conditions de travail très précaires.
  • Une scolarité parfois inadéquate chez les intervenants retenus, un manque de choix en raison des conditions offertes.
  • Une recherche constante de financement donc un manque de temps pour avoir une réflexion stratégique sur la direction à prendre pour l’organisme.
  • Une offre de temps partiel (de 2 à 3 jours par semaine) moins intéressante pour des professionnels.

 

  • Les organismes doivent répondre à des appels de projets qui ne correspondent pas toujours aux besoins des familles ou à leurs propres besoins.
  • Beaucoup d’efforts administratifs à fournir pour une subvention peu élevée et non récurrente.
  • Les organismes menacés financièrement s’impliquent dans des projets collectifs pour trouver des subventions supplémentaires et moins pour contribuer au travail de mobilisation des partenaires.
  • En raison d’un manque de ressources, les organismes sont déchirés entre investir du temps pour leur propre organisation et participer à des efforts collectifs.